En ce juillet instable qui rappelle celui de 2014, je zigzague encore entre les hautes herbes et les bois, entre le Nant et les monts, entre mes ombres et la lumière du monde, entre la mémoire (de ma mère, d’Annkrist, d’Angélique Ionatos qui s’en est allée à son tour bien trop tôt, de toutes les « voix chères qui se sont tues »), et le bel oubli que permettent parfois les chemins de traverse…