Dans Les soliloques des sous-bois, on trouvera, sous couvert de déambulations forestières et de cueillettes de champignons, un prolongement du questionnement amorcé dans Le grillon de l'automne – peut-être une façon de se situer à la lisière du temps, de se rassembler, de se retrouver, de tenter coûte que coûte le partage dans l'oubli de la marche et l'attention aux formes...